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  • PARIS, le 28 décembre 2010. Lors de l'enquête, les hommes de la police scientifique ont recueilli les indices sur la chute mortelle d'une jeune femme dans le métro à la station Etienne Marcel.

    Une peine d'au moins 15 ans de prison a été requise jeudi à l'encontre d'un jeune homme de 21 ans accusé d'être à l'origine de la chute mortelle le 27 décembre 2010 d'une jeune femme dans un escalier du métro parisien. Jugé par la cour d'assises de Paris, l'accusé a expliqué qu'après avoir tenté de voler le téléphone portable d'une première jeune femme, qu'il avait fait chuter sur le quai, il avait voulu fuir au plus vite et quitter la station de métro Etienne Marcel ce 27 décembre 2010.

    C'est dans ce contexte que la seconde victime, Vy-Anh Nguyen, 27 ans, a chuté dans les escaliers, avant de perdre la vie sur une table d'opération de l'hôpital Henri-Mondor de Créteil.

     


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  • ARCHIVES. 

    Ce lundi 16 septembre, vers 14 h 30, des policiers qui assuraient la sécurité devant l’école Ohr-Torah (ex-Ozar Hatorah) à Toulouse (Haute-Garonne), été sollicités par un membre de l’établissement qui venait de recevoir un appel anonyme. C'est devant cet établissement qu'un adulte et trois enfants avaient été assassinés par Mohamed Merah, au mois de mars 2012.

    elon nos informations, le mystérieux interlocuteur a affirmé être «le cousin de Mohamed Merah», avant d’indiquer qu’il allait venir commettre des meurtres dans l’école, le soir même. Un dispositif policier a été aussitôt déployé autour de l’école et le responsable de l’établissement a déposé plainte. Les premières investigations ont permis d’établir que l’appel anonyme provenait du département de la Haute-Saône. Les policiers de la sûreté départementale de la Haute-Garonne ont été chargés de l’enquête.

    Source : le parisien


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  • L'entrée du collège Guillaume-Budé, à Paris, se situe dans la rue Jean Quarré(XIXe arrondissement)

    Des couteaux, des katanas, des aérosols de gaz lacrymogène, des battes de base-ball… La découverte que les policiers ont faite dans les sacs des vingt-six jeunes interpellés hier aux abords du lycée Edgar-Quinet (IX e) en dit long sur la violence de l’altercation qui aurait pu avoir lieu. Il est un peu plus de midi lorsque le proviseur de ce lycée public situé au milieu de la rue des Martyrs, au pied de la butte Montmartre, constate la présence hostile d’une trentaine de jeunes devant son établissement.

    Terrorisée, la victime a été contrainte de se mettre à genoux, puis a vu son agresseur tirer dans sa direction, mais sans l’atteindre. L’élève, en pleurs, a ensuite été relâché avant d’aller alerter la direction de son collège. Un des responsables des lieux s’est aussitôt présenté à l’entrée de l’établissement. Il a été visé, à son tour, par l’un des agresseurs mais aucun projectile n’est sorti de l’arme exhibée.

    Les quatre auteurs de ces violences ont pris la fuite avant d’être rapidement interpellés. L’arme qui s’est avérée factice a également été saisie. Agés de 12 et 14 ans, trois d’entre eux ont finalement été remis en liberté. Le quatrième a été présenté au délégué du procureur de la République de Paris. Selon les premiers éléments de l’enquête, un ancien élève de ce collège pourrait être à l’origine de ces faits. Il aurait voulu ainsi se venger après avoir été exclu de cet établissement. Quelques heures après ces faits et l’attroupement armé qui avait eu lieu, la veille devant un lycée du IXe arrondissement, la préfecture de police de Paris, la mairie et le rectorat ont tenu une réunion sur la sécurité des établissements scolaires dans la capitale. Une présence policière plus importante a été mise en place aux abords de ces deux établissements.

    Source : le parisien


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